DC Alumni – Digital Campus Rennes une histoire de famille

“Jamais 2 sans 3” - Sur le canapé de DC Rennes, c’est une famille qui s’installe pour nous parler de son histoire avec Digital Campus.

Sabri, Emilie Sfar et leur nièce Lina Khrouf sont tous les trois étudiants ou anciens étudiants de DC Rennes. Ils nous racontent leur expérience.

DC interview rennes

Je vous laisse vous présenter ?

- Emilie : "Je m’appelle Emilie Sfar. Aujourd’hui je suis web-designer intégratrice chez Ovianet. 

Avant ça, j’étais vendeuse en électroménager. Je ne supportais plus ce que je faisais au point d’errer dans les rayons en me disant “Au secours !”. J’ai donc décidé de faire un bilan de compétences. Il en est principalement ressorti une prédisposition pour le graphisme. Pas étonnant sachant que Sabri, mon mari, me disait de faire ça depuis des années. 

Mais pour moi, ça me semblait tellement compliqué de reprendre les études, avec un loyer à payer, un enfant etc. J’ai eu beaucoup de chance, je suis tombée sur une super conseillère. C’est elle, qui m’a parlé de Digital Campus, de la formation accélérée avec la possibilité de financement. J’ai décidé de me lancer. Mais cela a pris près de 2 ans et demi quasiment 3 ans à se mettre en place. L’organisme de financement a refusé plusieurs fois mon dossier, mais je me suis accrochée, et j’ai insisté. Et ça a donné des idées à Sabri. "

- Sabri : "Je m’appelle Sabri Sfar, et avant d’arriver à Digital Campus, je travaillais dans une start-up d’impression 3D, sur la partie commerciale et marketing. Malheureusement, cette société n’a pas fonctionné alors je me suis retrouvé en licenciement économique. J’étais déjà assez intéressé par le web, je me suis dit pourquoi pas profiter de cette situation pour me lancer. Je voulais accéder davantage aux cotés techniques : graphisme, le code et l’intégration. Quand Emilie s’est penchée sur cette formation pour elle, ça m’a beaucoup intéressé. Et j’ai fini par intégrer la formation avant elle, en septembre 2015, dans la promotion DC Pro 4."

- Emilie : "Oui parce qu’avec un licenciement économique tout va plus vite. Sur le coup, c’était dur, parce que j’avais lancé la procédure avant lui et finalement il rebondissait avant moi. J’ai commencé en janvier 2016. D’ailleurs, mon premier module de formation était aussi le dernier de la promotion précédente on s’est donc retrouvé dans la même classe avec Sabri !"

- Lina : "Moi c’est Lina Khrouf. J’ai eu mon Bac Littéraire en 2018 puis j’ai enchainé sur une année en design à Tunis, ma ville natale. Mais tout ne s’est pas vraiment passé comme prévu. Depuis 2011, tout est plus compliqué vu l’état d’esprit du pays. A cause de tout ça, les profs étaient souvent absents. Je ne m’y retrouvais pas entre les cours très spécialisés print, ceux d’architecture ou encore design. J’en ai discuté avec Sabri, mon oncle, et Emilie. Je n’étais pas sûre et pas confiante dans ce que je voulais faire. Particulièrement parce que l’orientation n’est pas toujours valorisée dans les lycées français en Tunisie, la seule porte de sortie c’est la fac. Je suis donc arrivée en septembre 2019, chez Sabri et Emilie, pour rentrer à Digital Campus en première année de Bachelor Chef de Projet Digital."

En quelques mots c’est quoi DC pour vous ?

Sabri : "C’est ça ! A la base, je ne suis pas très scolaire. J’ai eu mes diplômes par VAE (Validation des acquis de l’expérience). J’étais même un peu fâché avec l’école et la théorie. J’avais peur de revenir à ça en reprenant une formation. En arrivant à DC Rennes, j’ai été agréablement surpris par le côté pratique et le côté pro, et surtout les nombreux échanges avec les professionnels. Ça m’a vraiment réconcilié avec l’école."

Emilie : "Et des amis aussi ! A tout point de vue c’est un gros changement de vie."

Lina : "Pour moi je dirais que c’est une bonne découverte ! Effectivement je ne suis là que depuis quelques mois mais c’est la première chose qui me vient à l’idée. Les cours sont particulièrement intéressants. Ça me change vraiment de l’idée que je me faisais de l’école, de gratter du papier, d’écouter et de ne faire que la théorie. Ça m’a vraiment troublé au début d’ailleurs. Même à Tunis, je faisais beaucoup de théorie et assez peu de logiciels. 

Vraiment à tout point de vue, ça me convient. Les profs sont passionnés, et présents. Ils sont disponibles pour les élèves et ça, c’est très important. "

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